MISE A JOUR DU 07.01.2024 : Intéressant reportage, tourné juste avant que tout crame. Le décalage entre la réalité et la fiction d'une ville Française normale est spectaculaire.

MISE A JOUR DU 06.01.2024 : Ce reportage de LCP, la chaîne du parlement quand même, est "ikilibri". Les mots tranquille, calme, paisible, voire triste sont cités.

Saluons les Policiers Municipaux, à 15 sur le terrain cette nuit là qui ont eu à faire face à 250 enragés style miliciens Hamas, cagoulés, en noir, "structurés" avec la "haine" qui va bien, "emmenés par des leaders" "en même temps au même endroit". Il y a du taf pour nos chers Batraciens pour remonter les canaux, pendant ce temps là ils vont lâcher la grappe au résistant patriote. Transmis à la Schtroumpfette.

Quinze poulets municipaux c'est beaucoup pour une ville de 15000 glandus terrorisés, donc ça craignait avant. Ils disent, et on les comprend, qu'ils ont été obligés de reculer face aux bombardements aux mortiers d'artifices (les stocks sont ils reconstitués, une rafle peut être ?).

Le maire (voir les commentaires ci-dessous) a assisté au saccage de son petit village dans la prairie dans la salle de contrôle des très (trop) nombreuses caméras avec son adjoint, son chef de cabinet et le Sous-Préfet lui même. La preuve que ces équipements liberticides pour "emmerder" les blancs ne servent strictement à rien face à des sauvages sortis de leurs tunnels (au sens propre et au sens figuré).

Il semble aussi que les crasseux de service, les éducateurs, en fait des grands frères barbus grassement payés à rien foutre, sont hors jeu.

Quant aux cow-boys du commissariat ils ont dû rester à défendre leur boutique pour éviter qu'elle crame comme une vulgaire église. Il en manquerait 30.

MISE A JOUR DU 06.01.2024 : MONTARGIS, 15000 habitants, nous a été présentée comme une paisible ville de la France profonde, celle où il faisait bon vivre, dans un cadre bucolique vanté par l'office du tourisme, la "Venise du Gâtinais", avec son canal de Briare qui relie la Loire à la Seine, vital avant l'irruption du chemin de fer.

Vu l'ampleur des dégâts (voir les vidéos, mais il y en a d'autres), perpétrés par 300 émeutiers, ce fut la surprise, la stupéfaction. Evidemment, les "autorités" ont feint l'incompréhension, botté en touche, menti par omission, joué les autruches, car comme nous allons le démontrer succinctement, c'était parfaitement prévisible.

Le maire et son conseil municipal, opposition comprise, le préfet, les forces de police locales sont évidemment responsables de ce qui s'est produit, car la situation actuelle est, comme partout en France, le résultat de 50 ans (à partir des accords Algérie de 1968) de lâcheté, de compromissions, de laisser faire, de pas de vagues. Le maire LR est une véritable caricature d'élu faux cul et mort de trouille, voire collabo, il faudrait fouiller.

MONTARGIS est devenu un cas d'école, à étudier en bac à sable, vieille manie des milis. D'ailleurs Moussa s'est pointé avec son nez de Pinocchio à 8 heures du mat le 1er janvier pour nous dire que la nuit a été calme et que 690 versus 745 véhicules brûlés est une diminution de 10%, plus c'est gros plus ça passe (cf ce bon docteur Goebbels). Celui là, il va falloir un jour lui demander des comptes.

La question à se poser : qu'ont fait tous ces bons à rien en six mois pour que les zombies ne déferlent pas à nouveau en ville s'imposer physiquement lors de la nuit du réveillon, déverser du fric ou les confiner ? Rendez-vous au premier jour du Ramadan ou au prochain petit ange wesh-wesh parti rejoindre ses 72 vierges..

Il suffit d'appliquer nos méthodes habituelles d'OSINT (Open Source Intelligence, en Français RSO Renseignement par Sources Ouvertes), pour se faire une religion rapidement :

La carte ci-dessous, accablante, est issue d'une officine des petits hommes gris :  https://sig.ville.gouv.fr/

Selon une source locale, le maire est un .... viré de la présidence de l'agglo par un maire rural, être muté à la BAC locale est une punition, la desserte RER "R" (en fait TER) a favorisé la transformation des lieux en plaque tournante de la drogue, c'est le registre "Uber Shit RER".

Côté Châlette sur Oued c'est la totale : cinq mosquées, maire PCF, 15000 habitant, 60% de jeunes étrangers dont 40% de Maghrébins, et 60% de familles monoparentales, en gros des mères lapines engrossées par des ordures qui n'assument pas, la déesse CAF se substituant au secours muz financé par la zakat, dont la part d'Allah pour rendre licite le fric de la drogue (10 à 20% selon les mosquées). Il y a un moment où il va falloir ramasser tout ça et les prier d'assumer.

Le député local, Thomas Ménagé, RN, a fait mordre la poussière à Jean Michel Blanquer soi-même et a écrabouillé le candidat NUPES avec 64% des voix. C'est dire si les électeurs du coin sont parfaitement au courant que ça craint. Sa permanence a été vandalisée, et il a été boudé par la téloche. C'est la gôôôche.

Conclusion : les émeutes de juin étaient parfaitement prévisibles.

EN CLAIR : CELA NE PEUT QUE RECOMMENCER. Seule issue pour les Kouffars, Babtous, Gadge et Goyim du coin : SE BARRER.

 Les quartiers (QPV, les  ZUS ont... disparu) et leurs fameux patatoïdes de la "bande des 300m".

La mairie est pointée en orange. La ZONE ORANGE du centre ville est sous coupe réglée.

La mairie est le point bleu au dessus de Ibis.

Cliquer sur l'image