GUERRE DE FRANCE

 

 

Préparation des Citoyens-Soldats français au combat sur le territoire national.

 

 

 

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MISE À JOUR DU 03.01.2024

 

 

OPÉRATIONS DIVERSES

 

 LES ARTICLES DE CETTE PAGE SONT CLASSÉS PAR ORDRE CHRONOLOGIQUE

 

 

 

 

  "OPÉRATION OBUS POUR LA PAIX"

 

 

OPÉRATION CANEBIÈRE, SCÉNARIO DE DÉFENSE TERRITORIALE
LA COUSCOUSSIE ANNEXE MARSEILLE
SOUTENUE PAR LA VODKASIE

 



1) J-5 mois : Au cours d’un match Tajinie-Couscoussie à Paris des troubles naissent et débordent sur le nord et l’ouest parisien intégrant des Tchétchènes, Tunisiens, Brésiliens, Sri Lankais, Afghans, Turcs etc... Après 6 jours d’émeutes intenses on dénombre 6 morts dont 5 Couscoussiens. Le gouvernement couscoussien demande des comptes au gouvernement français qui répond mollement. Il y a rupture des relations diplomatiques entre les 2 pays.

2) J-4 mois : Poussé par la Vodkasie, le gouvernement couscoussien décide une opération de représailles contre la France pour protéger ses ressortissants et annexer Marseille, la Vodkasie fournissant des conseillers militaires.

3) Préparatifs : Durant des mois la Couscoussie infiltre ses forces spéciales armées de mortiers, drones, missiles anti-chars portatifs, armes légères. Elles sont hébergées dans les quartiers favorables de Marseille, Toulon, Valence, Lyon, Nîmes, Paris.
Ces commandos recrutent des binationaux djihadistes anciens de l’armée française, et obtiennent d’eux un maximum de renseignements sur les régiments et escadrons de Gendarmerie Mobile : armement, dispositifs de sécurité, domiciles des chefs, accès aux blindés, clefs des soutes munitions, dépôts de vivres etc..

4) Simultanément : La Couscoussie prépare ouvertement une manœuvre nationale de débarquement sur son port de Gibou. préparatifs camouflant l’opération réelle de débarquement sur Marseille.

5) J-1 jour : 4 ferrys, 2 rouliers, 2 bâtiments de débarquement couscoussiens chargés de troupes et de blindés, accompagnés de conseillers militaires vodkasiens, se détournent de Gibou et font cap sur Marseille dans la nuit.

6) Au jour J : Au petit matin, par surprise, l’armée couscoussienne débarque 6 escadrons de chars T-90 et blindés de reconnaissance et de transport. Elle occupe Marseille soutenue par la population franco-couscoussienne locale. Elle rencontre peu de résistance car l’essentiel des forces françaises est en dissuasion aux frontières de l’Ukraine. Le PC couscoussien est installé à la mairie sur le Vieux Port.

7) La Vodkasie assure à l’armée couscoussienne une couverture satellite de communication, d’observation aérienne et de repérage d’objectifs.

8) Le président de la République Française étant en voyage officiel dans l’Antartique sur la base française Dumont-Durville, la 1ère ministre étant en congés de maternité, c’est le président du Sénat que l’on a mobilisé dans sa salle de musculation pour prendre les rênes de l’État.

9) Des commandos couscoussiens harcèlent de nombreuses garnisons et bases pour freiner l’intervention française.

10) D’autres commandos couscoussiens, à l’aide de lance-missiles portatifs, retardent la sortie de la rade de Toulon des bâtiments français.

11) Des sous-marins couscoussiens s’opposent à l’intervention de la marine française arrivant de Gibraltar et de Méditerrannée orientale.

12) J + 1 : La France déclare la guerre à la Couscoussie et envoie sur Marseille ses moyens militaires disponibles.

13) Des banlieues entrent en rébellion mais avec des luttes ethniques opposant les pro-Couscoussiens aux Comoriens, Maliens, Afghans etc...

14) Les régiments de Légion de Carpiagne, Aubagne et Nîmes ne peuvent intervenir qu’à faible effectif en raison d’Opex.

15) L’aéroport de Marignane est investi pour l’accueil des avions couscoussiens, chasse et transport. Les pleins sont assurés sans difficulté par des opérateurs couscoussiens bien renseignés.

16) La base d’Istres est en partie neutralisée par des drones et tirs de mortiers de commandos couscoussiens infiltrés.

17) Des escadrons blindés couscoussiens interdisent les routes et autoroutes face à l’ouest (Martigues, Vitrolles), au nord (Aix-en-Provence) et à l’Est (Aubagne).

18) L’intervention de l’aviation française est neutralisée par la décision de ne pas causer de pertes aux populations.

19) J + 3 : Le gouvernement couscoussien déclare l’annexion des Bouches-du-Rhône sauf Aix en Provence. Il conditionne le maintien des livraisons de son gaz par l’acceptation du gouvernement français, le repli de l’armée française, et le remboursement de frais de campagne présidentielle.

20) La Vodkasie annonce mettre la Couscoussie sous sa protection nucléaire et exige de la France qu’elle se déclare neutre dans le conflit ukrainien et retire ses troupes.

21) J + 4 : La Tajinie propose à la France son soutien par une intervention militaire sur le flanc ouest de la Couscoussie mais sous condition que le gouvernement français reconnaisse à la Tajinie la possession de l’ancien Sahara monégasque.

22) La Loukoumie déclare son soutien à la Couscoussie.

23) Les détenus couscoussiens des Baumettes sont libérés et incorporés. Les autorités françaises de Marseille sont mises en résidences surveillées. Les populations non-couscoussiennes peuvent quitter la zone annexée.

24) J + 5 : Le président français rentré d’Antarctique réunit le gouvernement et rassemble ses conseillers. Il penche pour la négociation.

25) Mais heureusement, dans un grand nombre de villes et villages des patriotes réservistes, retraités militaires, policiers, gendarmes, pieds-noirs et chasseurs de sangliers, encadrés par des militaires français disponibles sur le secteur, se lèvent en une armée de 300000 volontaires qui ont su soustraire leurs armes personnelles à la récente rafle gouvernementale. Ils complètent leurs équipements dans les armureries des garnisons proches. Après avoir pactisé avec la Vodkasie par des voies secrètes, ils appliquent les conseils et instructions du site www.guerredefrance.fr , et parviennent à libérer Marseille de nuit par la ruse.


26) À J + 10 : L’ennemi est rejeté à la mer avec un minimum de diplomatie.


Signé : Jean Tissip